Mes Petits Boulots DÉtudiante - 2
Après cet épisode imprévu, jai repris mes cours, et mes séances de baby-sitting.
M. LETOU, Laurent, en présence de sa femme, restait distant et rien ne pouvait suggérer que nous avions fait lamour.
Un jeudi soir, quelques semaines plus tard, je suis allée à leur appartement. Madame LETOU, Geneviève, ma accueillie gentiment, en me disant :
- Oh, jai oublié de te prévenir. Mon mari est parti en déplacement pour quelques jours et jai décidé de ne pas sortir ce soir. Mais puisque tu es là, je te propose de dîner avec moi, tu ne seras pas venue pour rien !
A lidée de perdre largent dune soirée de travail, jai un peu fait la moue, mais bon, au moins jaurais un bon repas. On sest mis à table, et avons commencé à parler de tout, de rien, du bébé adorable, puis de la relation mère-, puis de la relation entre les parents une fois le bébé arrivé.
Là, jai senti une petite inflexion dans la voix de Geneviève, comme un voile quand elle parlait de Laurent. Sachant que lui-même mavait indiqué quils traversaient plutôt une phase « basse », jai décidé de creuser un peu.
- Vous voulez dire que depuis larrivée de Brandon (leur bébé, je nai toujours pas compris pourquoi ils lavaient nommé ainsi), vos relations sont difficiles ?
- Pas difficiles au quotidien, on saime beaucoup et on fait ce quon peut pour que les choses se passent bien, mais il sest instauré une certaine distance, je suis plus préoccupée par Brandon et Laurent le vit parfois difficilement.
- Vous voulez dire que vous êtes moins câline ? Moins attirée par les moments intimes ?
- Euhh, en fait, oui, cest ça, tu es perspicace !
- Vous savez, je crois que cest fréquent après larrivée dun bébé dans un couple. Sans doute faudra-t-il un peu de temps pour retrouver votre intimité comme avant, mais il ne faut pas trop le délaisser, les hommes trouvent vite des remplaçantes.
- Non, pas Laurent, je suis sûre quil maime, et je ne peux croire quil me tromperait.
Le souvenir de la queue de Laurent dans ma bouche ma un instant fait rêver, mais je nétais pas là pour casser les illusions de Geneviève.
- Vous devez avoir raison, Geneviève, mais bien que je ny connaisse pas grand-chose en matière de couple et que je nai pas de conseil à vous donner, je crois que vous devriez retrouver le goût des câlins. Moi qui vis seule, vous imaginez bien que je me donne parfois du plaisir. Vous ne vous caressez jamais ?
Cette question très directe la faite rougir.
- Camille, tu es un peu indiscrète non ? Enfin, oui, bien sûr, cela marrive, mais pas très souvent. Mais comme je vois que Laurent se détourne un peu de moi, je me contente parfois sous la douche.
- Cest normal et sain, je pense, et comme vous êtes très jolie, je suis sûre que votre mari ne tardera pas à vous regarder à nouveau si vous le sollicitez. Moi, je trouve par exemple que vous avez de très jolis soutien-gorge. Pardonnez-moi, mais je les ai vus sécher dans la salle de bain, et jadorerai avoir une jolie poitrine comme vous pour en porter.
- Ahhhh, tu veux que je ten prête ?
- Javoue que jaimerais bien.
- Viens, allons dans la chambre, je vais te montrer ma collection.
Cette conversation entre fille semblait ingénue, mais javoue quune idée me trottait par la tête depuis un moment
Une fois dans la chambre, Geneviève ma sorti quelques modèles.
- Je peux les essayer ?
- Bien sûr, nous sommes entre filles.
Jai enlevé mon chemisier et mon soutif pour prendre un modèle. Jai vu que Geneviève regardait mes seins avec attention.
- Mais tu as des seins magnifiques, ma-t-elle dit, cela me rappelle quand javais ton âge.
- Je pense que les vôtres sont toujours aussi beaux, non ? Si vous me les montrez, je pourrai en juger
- Tu es un peu coquine toi ! Tiens, regarde. Et elle sest libéré également le haut du corps.
- Vous êtes super belle, ai-je dit en approchant ma main, je peux toucher leur velouté ?
- Hihihi, vas-y, a t-elle minaudé.
Jai posé ma main sur un de ses seins, lai caressé doucement, et je suis allée vers son téton, en ai fait le tour. Il a commencé à durcir entre mes doigts.
- Cela mexcite tes caresses, ma-t-elle dit.
- Jaime caresser les femmes aussi, ai-je répondu, vous navez jamais fait lamour avec une fille ?
- Mon dieu non, jy ai pensé parfois, cest vrai, mais je ne me voyais pas draguer une fille !
- Et maintenant que je suis là, prête à vous caresser, disponible pour que vous découvriez ce plaisir, cela vous tente ? Et puis, cela vous redonnera un peu de courage pour vous rapprocher de votre mari.
- Oh, tu es vraiment coquine toi, a ton âge !
- Mais cest que jai de lexpérience, Geneviève, vous voulez en profiter ?
Jai lu dans ses yeux lhésitation, la crainte de se laisser aller, mais aussi le désir que javais fait naître en la caressant. Elle a balbutié, en rougissant :
- Mais comment ?
Alors je lai allongée sur son lit doucement, je me suis allongée à côté delle, jai approché mon visage du sien, je lai regardée dans les yeux avec beaucoup de tendresse, et jai caressé ses seins.
- Je vais vous embrasser, laissez-vous faire.
Et jai posé mes lèvres sur les siennes. Jai présenté ma langue, et très vite elle a ouvert la bouche, a répondu à mon baiser, et nos langues se sont enroulées.
Moi, je trouve quun baiser est ce quil y a de plus érotique dans un début de relation. On entre dans une intimité totale, ou on peut se rendre compte de lenvie de lautre de se lâcher.
Jai connu des garçons, et des filles, qui narrivaient jamais à ouvrir la bouche franchement. Comme si ce geste les dégoûtait un peu, quils avaient peur déchanger leurs microbes avec les miens.
Et à chaque fois, la relation a peu duré, car cette réticence, ils lavaient dans toute leur approche de la sensualité.
Geneviève, visiblement, prenait plaisir à ce baiser, et cest elle qui est devenue goulue, attrapant mes lèvres, ma langue, essayant dentrer profondément dans ma bouche.
Nos sens commençaient à être bien chauffés, et nous nous caressions les seins mutuellement.
Alors, je lui ai remonté sa jupe, et ma main sest aventurée sur sa petite culotte, la palpant, lentourant de mes doigts, rapprochant les élastiques vers sa fente. Elle a commencé à gémir.
Jai passé un doigt, puis deux sous lélastique, et je lai branlée lentement, mattardant sur son clitoris qui gonflait gentiment. Ses soupirs ne laissaient pas de doute sur le plaisir ressenti.
Puis, me relevant, je lui ai ôté sa culotte, et jai mis ma bouche sur son sexe.
- Je vais vous lécher la chatte, Geneviève.
- Oooo, vas-y, cest une folie, mais tu me rends folle avec tes caresses.
- Vous sentez ma langue sur votre sexe ?
- Mmmm, oui, cest doux
- Jinsinue ma langue, et jécarte vos lèvres. Vous mouillez à mort on dirait.
- Tu mexcites trop, continue.
- Caressez-vous les seins en même temps. Et elle a serré ses seins dans ses mains.
Je métais agenouillée devant ses jambes écartées, et je profitais de la vue de cette vulve recouverte de poils blonds.
- Vous êtes belle Geneviève,
- Ooo, mais que me fais-tu, cest si bon
- Je vous fais découvrir ce quune fille peut donner à une autre.
- Mais tu es si jeune, qui ta appris cela ?
- Une professeure de dessin, pendant ma première année darchi. Un soir que nous dessinions des nus, elle a vu que je regardais le modèle, une femme, avec attention mais également intérêt, et elle ma gardé à la fin du cours
. Et cela sest fait.
- Mmmmm, quelle chance jai eu de te rencontrer, continue, lèche moi bien la chatte, enfourne ta langue dans mon con. Ô mon dieu, je me mets à parler comme une trainée.
- Mais non, vous avez du plaisir, et les mots crus excitent aussi limagination.
- Ah, oui, bouffe moi, aspire mon clito, jaime ta bouche sur moi.
Et je lui ai prodigué un cunnilingus danthologie. Jy ai mis du cur, à la fois parce que cela faisait bien longtemps que je navais pas fait lamour à une femme, et aussi parce que je voulais que cette première expérience lui donne envie de la renouveler.
A force de lui titiller le bouton, jai senti quelle mouillait de plus en plus, puis son corps sest tendu dun coup, et elle a crié sa jouissance. Repue, elle était languide, tout son corps abandonné après lextase.
Soudain, elle sest relevée.
- Mets-toi nue, je veux te lécher aussi. Je nai jamais touché une autre chatte que la mienne. Tu me guideras si besoin.
Jai pris sa place sur le lit, et à son tour elle ma branlée, caressée, sucée. Et elle faisait cela très bien, je nai pas eu besoin de la guider, si ce nest par des encouragements pour lui montrer que cétait bon. Et moi aussi jai joui, fortement.
- Vous voyez, Geneviève, cest bon lamour entre filles.
- Oui, oui, je suis bien heureuse de cette expérience. Mais jaime bien les hommes aussi !
Elle avait à nouveau comme une culpabilité latente.
- Lun nest pas mieux que lautre, cest différent, et si on le souhaite, on a le droit aux plaisirs multiples.
- Mmmm, je me dis que maintenant, je pourrais peut-être répondre à une demande de mon mari qui serait de faire lamour avec deux femmes. Cela te tenterait ?
A lidée de me retrouver avec la queue de Laurent dans la chatte, en train de bouffer celle de Geneviève, ou réciproquement, jétais toute excitée à nouveau.
- Vous devenez très coquine, Geneviève, et jaime ça. Bien sûr que je suis daccord, surtout que votre mari est très attirant.
- Mais comment faire ?
- Nous allons imaginer un petit scénario dans lequel il ne pourra que succomber à la tentation.
- Mais je ne veux pas quil sache que nous avons déjà baisé ensemble.
- Dabord, je crois que nous devons refaire lamour toutes les deux encore pour bien nous accorder, et ensuite nous passerons au trio. Je suis à nouveau excitée, je veux encore jouir.
- Ah ah, daccord, mais tutoie-moi maintenant que nous connaissons le gout de nos chattes.
- Daccord Geneviève, allonge-toi, on va se frotter la chatte.
On sest installées, on a ouvert nos jambes, les avons croisé, et jai approché mon sexe du sien, et nous nous sommes frottées lune à lautre.
Jadore cette position, ou chacune recherche à frotter son clito sur celui den face, et ou les fentes sécartent et se collent.
Après un moment à se chevaucher, chacune cherchant son plaisir tout en prenant soin de celui de lautre, jai joui à nouveau, et Geneviève a suivi peu après.
Nous nous sommes embrassées, puis, lovées dans nos bras, nous nous sommes endormies.
Le lendemain matin, nous étions surprises mais heureuses de nous réveiller ensemble, et nous avons à nouveau fait lamour.
- Tu sais, il va falloir que je fasse lamour à Laurent rapidement, sinon je vais finir par navoir envie que de toi.
- Ne tinquiète pas, jaime trop les garçons et je ne veux pas être exclusive !
- Alors, je te raconterai, et une prochaine fois, on lui fera un beau cadeau.
- Je suis sûre quil appréciera.
Je me suis habillée après une douche rapide, et jai filé en cours, pensant à nouveau que la vie est pleine de rebondissements, et heureuse de cette situation ou je participais à la reconstruction dun couple, tout en prenant mon pied. Et déjà je commençais à chercher quel plan nous allions monter pour que Laurent nous baise ensemble.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!